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|  - Réfléchis à ce que tu m'as fait avant de t'avancer sur des choses que tu ne comprends pas...!
Tsukiyo commençait à perdre son calme, et cela commençait à être visible. Aiko l'avait attaquée, l'avait blessée (pas forcément physiquement) et maintenant, elle se plaignait. Se fabriquer une vengeance. Tsukiyo ne comprenait vraiment pas.
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| -A part m'enfermer dans une cage d'eau?...non,rien.
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| Tsukiyo tentait de rester seraine et de ne pas laisser la colère la gagner, et de ne pas se laisser submerger par la tristesse. Elle fit seulement remarquer à Aiko:
- Je ne t'ai rien fait...
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| Aiko la regarda des yeux percants
-C'est ma nature et c'est ma vengeance.C'est ton violon et ta raison de vivre.Tu comprends maintenant?
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| Mais cette réponse non plus ne suffisait pas à Tsukiyo. Elle garda les yeux fixés sur Aiko, et demanda d'une voix lente et un peu menacente, il faut l'avouer... :
- Pourquoi tu as fait ça?
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| -Contente toi de celui-ci...
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| Pourquoi est-ce qu'elle ne bouge pas...? Pourquoi est-ce qu'elle ne se défand pas...? Elle qui a une mère si terrible... Elle devrait ne serait-ce que se défendre... Au moins. Ses pouvoirs sont assez puissants pour nous anéantir tous d'un seul coup, j'en suis persuadée...! Alors pourquoi ne fait-elle rien...?!
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| [MDR!]
Tsukiyo regarda son violon. Elle se releva après l'avoir saisi et se mit à regarder Aiko, qui ne pouvait toujours pas parti. Tsukiyo ouvrit la bouche une fois pour prendre la parole, mais elle du s'y reprendre, les mots lui venant difficilement...
- Ce ne sera plus pareil. Dit-elle d'une voix triste qu'Aiko ne lui connaissait pas.
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| Aiko se retourna.Elle dirigea ses bras vers le paquet de cendres qui reprit sa forme de violon.La matiere redevint celle qu'elle était.Avait-elle bien vue? mais oui! Aiko se rachetait!
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| Mais Tsukiyo n'avait pas l'air de cet avis. Une barrière se créa là où Aiko tentait d'aller. Elle ne pouvait pas retourner d'où elle venait. Elle ne pouvait que rester à proximité de Tsukiyo. Elle était arrêtée par des barrières qui semblaient dangereuses si on les touchaient où qu'elle aille.
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